Suite à la mise en place, par de nombreux pays, de mesures exceptionnelles destinées à freiner l’épidémie du virus Covid-19, Veolia s’organise pour assurer le maintien de ses services essentiels, tout en garantissant la sécurité de ses collaborateurs.
Rompus à la gestion des crises, les femmes et les hommes de Veolia s’appuient sur une organisation et des méthodes éprouvées pour remplir leurs missions auprès des collectivités comme des industriels, même dans des conditions dégradées :
- traitement et distribution de l’eau potable
- assainissement des eaux usées
- collecte, traitement et recyclage des déchets
- traitement des déchets médicaux dangereux
- énergie
- activités industrielles
Plan de continuité des services essentiels : eau potable, assainissement, propreté, énergie
La généralisation de l'épidémie dans toutes les géographies et ses conséquences économiques ont amené le Groupe à mettre en oeuvre des mesures pour l'ensemble de ses opérations afin de minimiser les effets de cette crise sur ses salariés, réduire l'impact sur les résultats et préparer, dès à présent, le rebond d'après-crise.
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Pour garantir le maintien et la qualité de ses services, Veolia a activé son plan de continuité dès le début de l’épidémie, organisant pays par pays, et métier par métier, la poursuite de son activité.
Le premier volet de ce plan : réduire l’effectif présent sur le terrain afin d’éviter les contaminations entre les salariés.
Le second volet : assurer la continuité des services essentiels (eau potable, assainissement et propreté) avec nos collaborateurs qui restent mobilisés sur le terrain.
Dans l’eau comme dans les déchets, Veolia assure le maintien de ses services essentiels grâce à l’engagement de ses opérateurs, face à l’épidémie :
La sécurité de nos collaborateurs avant tout
“Ma principale préoccupation c’est de m’assurer que nos personnels [...] de l’eau ou des déchets travaillent dans des conditions de sécurité suffisantes [...]. C’est notre préoccupation principale aujourd’hui.”
Antoine Frérot, sur BFM Business, le 19 mars 2020.
Veolia a besoin de 90.000 masques par semaine pour ses collaborateurs qui assurent la distribution de l'eau pic.twitter.com/oYEUTg53Go
— BFM Business (@bfmbusiness) March 19, 2020
Respect des gestes barrières : respect des distances de sécurité, lavage des mains au savon ou au gel hydroalcoolique, organisation du travail à distance (à domicile) ou de rotation des équipes pour protéger nos collaborateurs
Dispositifs de sécurité : équipements de protection, gants, masques, prises de températures, désinfection renforcée des véhicules et des matériels…
Les dispositions prises par nos collaborateurs de la zone Asie, plus précocement touchée, ont permis de limiter les conséquences de l’épidémie. En Europe, les équipes se mobilisent pour assurer un service de qualité, malgré les restrictions introduites progressivement, pour l’ensemble des activités du Groupe. La transformation digitale que le groupe a enclenché et déployé partout dans le monde, contribue à la capacité de Veolia d’assurer le maintien de ses activités même dans des conditions dégradées.
Nos géographies sont toutes mobilisées
Partout où nous sommes présents, nos collaborateurs sur le terrain font face à l’épidémie pour continuer à assurer le service :
Découvrez nos podcasts "Et demain : quitte ou double pour l'écologie ?"
Veolia a lancé avec la revue de prospective Usbek & Rica, ses "rendez-vous du mercredi" : une série d’interviews d’experts sur le thème "Et demain : quitte ou double pour l’écologie ?". Ces réflexions croisent les approches politiques, sociales et environnementales.
La Fondation Veolia met son expérience des épidémies au service du Groupe
Depuis plus de 20 ans, la Fondation intervient dans des situations d’urgence humanitaire.
Les situations d’urgence humanitaire entraînent généralement des problématiques de santé publique majeures. Le risque d’épidémies liée à une absence totale ou une dégradation des services vitaux (eau, assainissement, collecte des déchets) peut conduire à des situations où des épidémies sont plus meurtrières que la catastrophe elle-même. Face à ces problématiques sanitaires complexes, il n’y a pas de modèle de réponse standard.
Il faut miser sur une approche associant les acteurs concernés. Il faut dépasser l’approche en silos pour privilégier une approche où toutes les parties prenantes sont impliquées : les acteurs du secteur médical mais pas seulement. Et c’est la grande force de notre fondation. Nous avons su développer depuis plus de 20 ans un réseau dense de partenaires : des agences des Nations unies, des ONG (Médecins Sans Frontières, Médecins du Monde, Croix-Rouge française…) des universités, de grands bailleurs internationaux....