COMPTES ANNUELS 2022

Détail des résultats au 31 décembre 2022

• Le chiffre d’affaires réalisé au cours de l’exercice 2022 s’établit à 42 885 millions d’euros, en croissance de 49,4 % à change constant par rapport au chiffre d'affaires de 2021 publié. Cette très forte croissance résulte de l’acquisition de Suez, dont la contribution au chiffre d’affaires cumulé ressort à 9 722 M€ et d’une croissance organique de 4 565 millions d’euros (+16%)
• Sur la base du chiffre d’affaires combiné de Veolia et des actifs de Suez, la croissance s’est établie à +14,1%, à périmètre et change constants. 

L’évolution du chiffre d’affaires par effet se décompose comme suit : 
L’analyse qui suit de l’activité du Groupe est faite sur les chiffres combinés de Veolia et des actifs de Suez.

L’effet change ressort à +673 millions d’euros (+1,8% sur le chiffre d’affaires combiné) et reflète principalement la variation des devises américaine, australienne, britannique, chinoise et tchèque, partiellement compensée par une dégradation sur les devises polonaise, hongroise et latines américaines.

L’effet périmètre de -757 millions d’euros (-2,0%) comprend majoritairement la cession d’actifs en Scandinavie réalisée en 2021 (-266 millions d'euros) et, au niveau de Suez, les cessions d’activités en Australie en 2021 et l’impact des remèdes de l’Union Européenne avec le classement d’une partie des activités déchets dangereux France en actifs disponibles à la vente. Ces effets négatifs sont partiellement compensés par l’impact de l’entrée de périmètre d’OSIS sur SARP (+78 millions d'euros) en 2021. 

L’effet Commerce / Volumes / Travaux s’élève à +906 millions d’euros (+2,4 %) grâce à de bons volumes dans l’ensemble des activités et notamment dans l’énergie ainsi que par la croissance des activités travaux et Technologie.

L’effet climat est modéré et s’élève à -114 millions d’euros (-0,3%). L’activité Énergie de l’Europe centrale et orientale a été impactée par un hiver plus doux qu’en 2021, et dans une moindre mesure l’Eau au Chili avec un été moins chaud impactant les volumes d’eau du premier trimestre. 

L’impact du prix des énergies s’élève à +2 851 millions d’euros (+7,6%), porté par la hausse des tarifs de chaleur et d’électricité principalement en Europe Centrale et orientale.

L’impact du prix des matières recyclées s’élève à +258 millions d’euros, après 288 millions d’euros au 30 septembre 2022. Le principal effet est l’augmentation du prix des papiers recyclés en France, en Allemagne et au Royaume-Uni, jusqu’en juillet 2022.

Les effets prix ont été très favorables de 1 394 millions d’euros (+3,7%), principalement grâce aux mécanismes d’indexation tarifaires et de hausses du prix des services du Groupe de +4,6% en moyenne dans les Déchets, et +3,2% dans l’Eau.

• Le chiffre d’affaires au 31 décembre 2022 est en progression sur l’ensemble des segments opérationnels par rapport au 31 décembre 2021 combiné :
  • Le chiffre d’affaires de France et déchets spéciaux Europe s’élève à 9 666 millions d’euros et affiche une croissance organique de +2,6% comparé au 31 décembre 2021 combiné :
    • Le chiffre d’affaires de l’Eau France est en hausse de +1,6%, avec l’effet positif des révisions tarifaires de +3,8 % à fin décembre et des volumes en augmentation de +0,4%.
    • L’activité Déchets France progresse de +0,5%. Elle bénéficie de prix moyens toujours élevés dans les matières recyclées vendues malgré la baisse du prix du papier recyclé depuis l’été, et de l’effet positif des révisions tarifaires, alors que les volumes sont en retrait modéré par rapport à l’année dernière. 
    • L’activité des déchets dangereux en Europe est en progression de +5,5%, avec la hausse des volumes et des prix notamment dans l’activité de traitement des huiles et des lubrifiants dans un contexte haussier du cours du pétrole, conjuguée à l’effet positif de révisions tarifaires et la bonne tenue du développement commercial dans l’activité assainissement et maintenance industrielle
    • La SADE est en progression de +3,4%, grâce à une bonne activité commerciale en France.
       
    • Le chiffre d’affaires de l’Europe hors France atteint 17 850 millions d’euros au 31 décembre 2022 en croissance organique de +26,1% principalement grâce à la hausse des prix de l’énergie et de bons niveaux d’indexation tarifaires dans l’Eau en Europe Centrale et Orientale.
      • En Europe Centrale et Orientale, le chiffre d’affaires s’établit à 9 400 millions d’euros en croissance de +40,8 %. La zone enregistre toujours une activité soutenue portée par : 
        • l’effet favorable des indexations tarifaires dans l’énergie (Pologne, Hongrie, République Tchèque, Slovaquie, Roumanie et Allemagne) et dans l’eau (République Tchèque et Roumanie), et la hausse de +1,1% des volumes d’eau distribués (Pologne et République Tchèque), et malgré un effet climat Énergie défavorable (-100 millions d’euros).
      • En Europe du Nord, le chiffre d’affaires de 4 900 millions d’euros progresse de 9,2%. Cette augmentation est principalement portée par le Royaume-Uni, en hausse de +9,0% à périmètre et change constants en raison de l’effet favorable des prix des matières recyclées (papier et plastique), la hausse des prix de l'électricité, une bonne indexation tarifaire dans les PFIs (+7 % en moyenne) et une bonne performance des incinérateurs (taux de disponibilité des installations de 95%). Le Belux est en croissance organique de +13,9%, grâce à de bonnes performances opérationnelles des activités déchets et services énergétiques
      • En Italie, la croissance organique du chiffre d’affaires atteint +34% en raison du démarrage des contrats remportés en 2021 et de l’effet très favorable des prix de l’énergie.
      • En Ibérie, le chiffre d’affaires a progressé de +14,4%, porté par l’activité énergie et par un bon niveau d’activité dans l’eau en Espagne (Agbar) dont les volumes sont en hausse de +2,1%. 
         
    • Le chiffre d’affaires du Reste du Monde atteint 11 196 millions d’euros en croissance organique de +8,5% sur l’ensemble des géographies, y compris l’Asie malgré le ralentissement en Chine sous l’effet du confinement :
      • Progression du chiffre d’affaires en Amérique Latine de +20,2%, portée notamment par le Chili qui bénéficie des indexations tarifaires favorables dans l’activité eau et l’Argentine. La Colombie et le Brésil affichent un bon niveau d’activité dans les déchets.
      • En Afrique Moyen-Orient, l’activité progresse de +10,6%, tirée principalement par la progression des contrats d’eau au Maroc, grâce à la hausse des volumes et à l'effet positif des révisions tarifaires et la très forte croissance d’Enova au Moyen-Orient dans les services d’efficacité énergétique.
      • En Amérique du Nord, le chiffre d’affaires s’établit à 3 386 millions d’euros soit une hausse de +9,7%. La croissance est portée par une activité toujours soutenue dans les déchets dangereux avec une croissance des volumes traités et l’effet des hausses de tarifs à deux chiffres, et dans l’activité eau, par l’effet favorable d’indexation tarifaire notamment sur l’activité Eau Régulée, de bons volumes durant l’été et un bon niveau d’activité de travaux. 
      • Le chiffre d’affaires en Asie progresse de +2,7%. Le ralentissement de la croissance en Chine lié aux restrictions Covid a toujours un impact défavorable sur les activités avec des volumes de déchets dangereux en baisse et une activité réduite dans l’énergie et les services industriels. Ce ralentissement est compensé par la bonne croissance des autres pays, notamment à Singapour (+57,9%), à Taïwan (+19%), en Corée du Sud (+6,2%) et au Japon (+4,7%).
      • Dans le Pacifique le chiffre d’affaires est en hausse de +4,0 %, toujours grâce à la hausse des volumes des activités de collecte et d’enfouissement des déchets et les hausses de tarifs amorcées au deuxième semestre.
         
    • L’activité Technologies de l’Eau est en progression de +10,0%. Veolia Water Technologies enregistre une croissance de +4,4% et le pôle Water Technologies Services est en forte accélération à +13,5%, grâce à un bon niveau d’activité et des hausses de prix en particulier dans l’activité de vente de produits chimiques pour le traitement de l’eau. Le montant de prises de commandes de VWT enregistré au 31 décembre 2022 s’élève à 1 496 millions d’euros contre 1 268 millions d’euros au 31 décembre 2021. 
       
• La croissance organique du chiffre d’affaires par métier par rapport au 31 décembre 2021 combiné s’est établie de la façon suivante : 
  • Le chiffre d’affaires de l’Eau exploitation progresse de +8,0%, à 12 671 M€, avec un bon niveau de volumes dans toutes les géographies et des indexations tarifaires en hausse.
     
  • Le chiffre d’affaires Technologie et Construction est en progression de +8,6%, à 5 589 M€.
     
  • Le chiffre d’affaires de l’activité Déchets progresse de +6,8% à périmètre et change constants à        15 798 M€. Il bénéficie de prix moyens élevés des matières recyclées (+1,7% après +3,4 % au premier semestre) sur les papiers, plastiques. La tendance haussière du prix du pétrole ainsi qu’un bon niveau d’activité impacte favorablement les activités de déchets dangereux en Europe et en Amérique du Nord. Les revenus électriques tirés de l'activité incinération sont en hausse et des révisions tarifaires favorables (+4,6% après +3,2% au premier semestre) sont constatées sur les différentes géographies. L’effet commerce / volumes est neutre (-0,2%). Le Groupe poursuit sa politique de sélectivité des contrats et de pricing strict de ses offres.
     
  • Le chiffre d’affaires de l’activité Énergie est en progression de +44,7% à périmètre et change constants à 9 227 M€. La forte croissance de l’activité repose sur un effet prix positif (+36,6% après +29,4% au premier semestre), notamment en Europe, sur la progression des volumes distribués, les augmentations tarifaires en Europe centrale et orientale et sur un bon développement commercial notamment en Italie et au Moyen-Orient. L’effet climat est légèrement défavorable à -1,5% du fait d’un hiver doux.
• Forte croissance de l’EBITDA, à 6 196 M€ contre 5 823 M€ au 31 décembre 2021 combiné, soit une croissance de +7,2 % à périmètre et change constants. 
  • Les variations de change ont eu un impact favorable de 91 M€ soit +1,6%, compensées par les effets périmètre défavorables de -139 M€ (-2,4%). 
     
  • La solide croissance de L’EBITDA est le résultat de la progression de l’activité pour 81 M€, du programme de réductions de coûts à hauteur de 371 M€ au-dessus de l’objectif annuel de       350 M€ et des synergies nées du rachat des activités de Suez pour 146 M€. La réalisation du programme de synergies est en avance puisque l’objectif annuel était de 100M€. L’effet hausse des prix nette des hausses de coûts et renégociations contractuelles s’établit à -220 M€. Le climat a eu un effet négatif de -58 M€. Les matières recyclées et le prix des énergies ont eu un effet favorable de 217 M€ à la croissance de l'EBITDA. Les autres effets sont principalement dus à des éléments ayant affecté positivement l’EBITDA à fin décembre 2021: la réalisation d'une opération de cession escompte en France sur un incinérateur de déchets pour 83 millions d'euros, ainsi que des éléments non récurrents pour 32 millions d'euros intervenus sur le périmètre acquis de Suez.
• Forte croissance de +16,3 % de l’EBIT courant à 3 062 M€, à périmètre et change constants.  
  • La variation des changes a contribué à hauteur de 19 M€ à l’EBIT courant.
  • La hausse de l’EBIT courant à périmètre et change constants (+ 446 M€) se décompose de la façon suivante : 
    • Forte hausse de l’EBITDA (+421 M€ à périmètre et change constants).
    • Stabilité des amortissements et provisions (y compris remboursements des actifs financiers opérationnels), hors le one off de 2021 (neutralisation de la cession-escompte sur un incinérateur de déchets en France pour -83 M€)
    • Les plus-values de cessions net des dépréciations incluent l’impact d’une cession d’actifs réalisée en Australie au premier trimestre 2022 (actifs déchets de la filiale Integrated Waste Services), ainsi que la cession de l'Eau Industrielle réalisée en novembre 2022.
    • Un effet IFRS 2 de -54 M€ 
    • Une contribution du résultat net courant des co-entreprises et entreprises associées 127 M€ contre 148 M€ en 2021.  
• Le résultat net courant part du groupe a atteint 1 162 millions d’euros au 31 décembre 2022, contre 896 millions d’euros au 31 décembre 2021 publié (+29,7% et +27,7% à change constant)
  • Le coût de l’endettement financier net ressort à -707 M€. Il augmente de 226 M€ au titre de la consolidation de l’endettement financier net de Suez. Le taux de financement du Groupe a retrouvé des niveaux comparables à 2019 et 2020, après un exercice 2021 exceptionnellement bas. Le taux de financement du Groupe s’établit ainsi à 3,87% au 31 décembre 2022 contre 2,98% au 31 décembre 2021 publié.
  • Les autres revenus et charges financiers (y compris plus et moins values de cessions financières) s’élèvent à -316 M€ contre -39 M€ au 31 décembre 2021 publié. Au 31 décembre 2021, ce poste incluait chez Veolia les dividendes reçus de Suez pour 122 M€ au titre des   29,9 % détenus alors. 
  • Les impôts ont atteint 514 M€ et reflètent la hausse du résultat courant avant impôt. Ils font ressortir un taux d'imposition de 26,9%. 
  • Les intérêts minoritaires se sont établis à 363 M€ contre 158 M€ au 31 décembre 2021 publié. 
     
• Le résultat net publié part du groupe ressort à 716 millions contre 404 millions d’euros au 31 décembre 2021 publié (+77 %)
  • Les principaux éléments non courants sont composés des coûts afférents à l’acquisition et l’intégration de Suez à hauteur de -285 M€, la dépréciation des activités du Groupe en Russie pour environ 100 M€, des charges de restructuration pour un montant de -115 M€ et des plus-values de cessions financières non courantes de +322 M€ au titre des cessions antitrust (activités de services mobiles de l’eau et une partie des activités de déchets dangereux en France). Enfin, l’impact du PPA de Suez s’élève à -52 M€. 
• Endettement financier net de 18 138 M€ au 31 décembre 2022. Free cash flow de 1 032 M€. 
  • L’endettement financier net s'établit à 18 138 M€ (hors PPA), contre 9 532 M€ au 31 décembre 2021 . Par rapport au 31 décembre 2021, la variation de l’endettement financier net s'explique principalement par les éléments suivants : 
    • - le free cash-flow net de l’exercice s’élève à +1 032 M€, comprenant l’augmentation de l’EBITDA, des investissements industriels nets de 3 089 M€, une amélioration de la variation du Besoin en fonds de roulement opérationnel de +48 M€ grâce à la poursuite des efforts de recouvrement. 
    • - l’impact net de l’acquisition du Groupe Suez de - 8 664 M€ incluant : l’acquisition du Groupe Suez le 18 janvier 2022, l’endettement financier net entrant, la cession d’une partie du Groupe Suez au consortium d'investisseurs constitué de Meridiam-GIP-CDC et CNP Assurances le 31 janvier 2022, et les cessions des remèdes antitrust convenus avec l'autorité britannique de la concurrence et des marchés (CMA) et avec la Commission européenne.
    • -  le versement des dividendes votés en assemblée générale mixte du 15 juin 2022 (-688 M€)
    • - le remboursement de la dette hybride Suez pour -500 M€
  • L’endettement financier net est par ailleurs impacté par un effet de change et de variation de juste valeur défavorable de -232 M€ au 31 décembre 2022.
• Hausse du dividende, à 1,12€ par action, payé à 100 % en numéraire au titre de l’exercice 2022. 
  Le conseil d’administration proposera à l’Assemblée Générale du 27 avril 2023 le versement d’un dividende de 1,12€ par action au titre de l’exercice 2022, payable en numéraire. La date de détachement du dividende est fixée au 9 mai 2023. Les dividendes 2022 seront versés à partir du 11 mai 2023.

******************

• Perspectives 2023 ⁽¹⁾⁽²⁾ 
  • Solide croissance organique du chiffre d’affaires 
  • Économies de coûts supérieures à 350 M€ auxquelles s’ajoutent de nouvelles synergies attendues pour un montant cumulé supérieur à 280 millions fin 2023, en ligne avec l’objectif de 500 M€ cumulés.
  • Croissance organique de l’EBITDA de +5  % à +7  %
  • Résultat net courant part du Groupe autour de 1,3 Md€⁽²⁾
  • Confirmation de la relution du Bénéfice Net Courant Par Action⁽³⁾ d’environ 40 % en 2024
  • Leverage ratio attendu autour de 3x 
  • Croissance du dividende en ligne avec celle du bénéfice net courant par action

^{(1) change constant et sans élargissement du conflit au-delà du territoire ukrainien, ni changement significatif des conditions d’approvisionnement en énergie en Europe
(2)Hors PPA Suez
(3)Relution du BNPA y compris coût de l’hybride et avant PPA  Suez}

À propos de Veolia

Le groupe Veolia a pour ambition de devenir l’entreprise de référence de la transformation écologique. Présent sur les cinq continents avec près de 220 000 salariés, le Groupe conçoit et déploie des solutions utiles et concrètes pour la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie qui participent à changer radicalement la donne. Au travers de ses trois activités complémentaires, Veolia contribue à développer l’accès aux ressources, à préserver les ressources disponibles et à les renouveler. En 2022, le groupe Veolia a servi 111 millions d’habitants en eau potable et 97 millions en assainissement, produit 44 térawattheures d’énergie et valorisé 61 millions de tonnes de déchets. Veolia Environnement (Paris Euronext : VIE) a réalisé en 2022 un chiffre d’affaires consolidé de 42,9 milliards d’euros. www.veolia.com

Avertissement important 

^{Veolia Environnement est une société cotée à Euronext Paris et le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » (forward-looking statements) au sens des dispositions du U.S. Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Ces déclarations ne sont pas des garanties quant à la performance future de la Société. Les résultats effectifs peuvent être très différents des déclarations prospectives en raison d’un certain nombre de risques et d’incertitudes, dont la plupart sont hors de notre contrôle, et notamment : les risques liés au développement des activités de Veolia Environnement dans des secteurs très concurrentiels qui nécessitent d'importantes ressources humaines et financières, le risque que des changements dans le prix de l'énergie et le niveau des taxes puissent réduire les bénéfices de Veolia Environnement, le risque que les autorités publiques puissent résilier ou modifier certains des contrats conclus avec Veolia Environnement, le risque que les acquisitions ne produisent pas les bénéfices que Veolia Environnement espère réaliser, les risques liés aux termes et conditions figurant habituellement dans les accords de cession, le risque que le respect des lois environnementales puisse devenir encore plus coûteux à l'avenir, le risque que des fluctuations des taux de change aient une influence négative sur la situation financière de Veolia Environnement telle que reflétée dans ses états financiers avec pour résultat une baisse du cours des actions de Veolia Environnement, le risque que Veolia Environnement puisse voir sa responsabilité environnementale engagée en raison de ses activités passée, présentes et futures, de même que les autres risques décrits dans les documents déposés par Veolia Environnement auprès de l'Autorité des marchés financiers. Veolia Environnement n’a pas l’obligation ni ne prend l’engagement de mettre à jour ou réviser les déclarations prospectives. Les investisseurs et les détenteurs de valeurs mobilières peuvent obtenir gratuitement auprès de Veolia Environnement (www.veolia.com) copie des documents déposés par Veolia Environnement auprès de l’Autorité des marchés financiers.}