Le collectif +1, initiative portée par Veolia pour accélérer la transformation écologique, a réuni des acteurs clés du secteur lors d'une matinée d'échanges. L'objectif : co-construire une nouvelle instance de dialogue du Groupe avec ses parties prenantes qui aura pour vocation d’unir les voix et les forces pour répondre aux défis environnementaux et sociétaux.
Le 4 février dernier, le collectif « +1, pour une écologie en actions » s’est réuni pour une matinée d'échanges dont le thème était : “Transformation écologique : plus que jamais, unissons les voix des parties prenantes”.
+1 est un dispositif de dialogue et de coopération unique qui mobilise des représentants de l'ensemble des catégories de parties prenantes de Veolia avec pour objectif de croiser les regards et trouver un chemin commun pour la transformation écologique.
Les participants ont imaginé, lors de sessions d’intelligence collective, les contours de l’Assemblée des Parties Prenantes et identifié quelques-uns des thèmes qu’elle pourrait aborder : adaptation au changement climatique, modèles économiques, justice sociale, intelligence artificielle… Cette future instance de dialogue permettra de relier et de renforcer les différents écosystèmes de parties prenantes de Veolia et, ce faisant, d’unir les voix pour mieux répondre aux défis sociétaux et environnementaux. Comme l’a souligné Fanny Demulier, Directrice Raison d’être et Parties Prenantes : "C'est le collectif plutôt que l'individu, le fait de rassembler plutôt que de diviser et c'est aussi et surtout le fait d'agir plutôt que de subir".
La conviction de Veolia est que cette transformation ne pourra se faire qu’à l’échelle des territoires, avec les élus locaux, en mobilisant autour d’eux les parties prenantes concernées et en alliant les forces en présence, pour déployer des solutions qui se traduisent dans la vie des communautés locales, par des résultats concrets sur leur santé, leur pouvoir d’achat, leur emploi, leur bien-être, et leur sécurité.
Retrouvez un aperçu de cette matinée d’échanges :
Une écologie en actions
Antoine Denoix, CEO d'AXA Climate a mis en avant l'approche locale dans la gestion des risques climatiques. "L'adaptation nous place en responsabilité de partager un même territoire physique et donc nous oblige à coopérer", a-t-il expliqué. Il a présenté des initiatives de coopération territoriale, notamment autour de la gestion de l'eau dans les Pyrénées-Orientales et de l'adaptation du bâti aux inondations dans le Nord de la France.
Jean-François Nogrette, Directeur de la zone France et déchets spéciaux Europe, a souligné l'importance d'une "écologie concrète et utile", ancrée dans les territoires. Il a illustré son propos par des exemples : "À Dombasle, dans le Nord-Est, nous transformons deux chaudières à charbon en une chaudière utilisant des combustibles solides de récupération, divisant par deux les émissions de CO2." Il a également évoqué la question du recyclage du cuivre, soulignant que "la France possède de nombreuses ressources à portée de main, et nous nous devons de mettre en place une véritable écologie des solutions territoriales”.
